
Togo: Ekpe-Ekpe 2013, the stone is white

55% ; telles sont les parts de gestion de la Banque Internationale pour l’Afrique (BIA-Togo) que l’Etat togolais a cédées au groupe marocain Attijariwafa Bank. Cette cérémonie a eu lieu le mardi 24 septembre dernier ; le reste des actions (22%) sont détenu par les investisseurs togolais. Aussitôt, une assemblée générale a eu lieu au niveau du Conseil d’Administration de ladite banque ; suite à cette réunion, l’ancien directeur de la BIA-Togo, Jean-Paul Lecalme est remplacé par Bennani Abdellah. Une conférence de presse a alors permis ce mercredi au premier actionnaire de la BIA-Togo d’échanger avec les professionnels des médias sur l’événement.
Après le Sénégal, le Mali, la Guinée-Bissau, la Côte d’Ivoire et le Burkina Faso, en Afrique de l’Ouest, c’est au Togo que le groupe marocain Attijariwafa Bank a choisi poser ses valises. De la langue arabe Attijari (commercial) et Wafa (confiance), ce groupe a un seul objectif : celui de « comment construire le développement ». Pour ce faire, loin de lui de remettre tout à zéro ; mais il sera question de compléter les 159 collaborateurs actuels en quantité et en qualité. En d’autres termes, il entend respecter la spécificité socioéconomique du Togo. Parmi les innovations prévues par Attijariwafa Bank, il faut noter la mise en place de cartes bancaires et l’ouverture de guichets automatiques. Selon les responsables de ce groupe bancaire, deux raisons motivent leur présence au Togo. D’une part, Attijariwafa a une ambition de couverture continentale, surtout avec les pays francophones. D’autre part, l’Etat togolais même a tendu une perche que le groupe a saisie. Le groupe Attijariwafa a ainsi remporté l’acquisition de ces 55% de cette banque devant son concurrent Ecobank.
« Désormais, cela ouvre une page très importante dans l’histoire économique du Togo, parce que le groupe Attijariwafa Bank vient avec un projet de développement », a déclaré Mounir Oudghri, Directeur Général Adjoint du groupe. Lequel projet, a-t-il poursuivi, va ainsi « contribuer au développement de l’économie togolaise ». Il n’a pas oublié de rappeler que son institution a son rôle à jouer. « Nous devons jouer notre rôle dans la bancarisation et permettre le rapprochement de la banque des citoyens, à travers le développement du réseau et conquérir ainsi plus de clients », a-t-il fait savoir. Quant à la compagnie BIA-Togo, Mounir Oudghri a souhaité qu’elle « continue à servir avec fidélité ».
Avec la privatisation de la BIA-Togo, le désengagement de l’Etat togolais vis-à-vis de certains établissements bancaires se concrétise à petit coup. Il s’agit de l’Union Togolaise de Banque (UTB), de la Banque Togolaise du Commerce et de l’Industrie (BTCI), de la Banque Internationale pour l’Afrique (BIA-Togo) et de la Banque Togolaise de Développement (BTD). C’est la BTD qui a été la première banque à être acquise ; et ce par Oragroup SA. Et la BIA-Togo est ainsi la deuxième banque à être privatisée parmi eux. – F.A / F.S, telegramme228
Trois nouveaux ambassadeurs ont été reçus par le président de la République, Faure Gnassingbé le jeudi 26 septembre 2013.
Le Sénégal, l’Egypte et le Saint siège ont chacun un nouveau représentant de leurs différents pays au Togo.
Le Consulat du Sénégal devient une Ambassade dont le nouveau patron s’appelle Talla Fall. Pour le nouvel ambassadeur, « le Togo devient un facteur de stabilité politique au niveau de la sous-région ouest-africaine ».
L’Egypte est désormais représentée au Togo par son Ambassadeur Mohammed Ibrahim Ahmed Elnokaly.
Monseigneur Brian Udaigwe a été le troisième diplomate reçu en audience par le président de la République. Ce diplomate du Saint siège a présenté ses lettres de créances au Chef de l’Etat comme Nonce apostolique au Togo.
« Le pape m’a recommandé parce qu’il y a de bonnes relations entre le Togo et Saint siège. Que cette relation continue par croître, c’est pour ça que je suis là », a-t-il déclaré à la presse. – pa-lunion
[B]The 350th edition of the sacred stone ‘Pierre Sacrée’ in Glidji kpodji Thursday has been marked by stampedes and stone-throwing incidents. [/B] Foreign Affairs and culture ministers Elliot Ohin and Me Fiatuwo Kwadjo Sessénou, members of Parliament and accredited ambassadors and other traditional chiefs fled in haste the scene. Rift between followers of two divinities […]